Gonflé à bloc ! La période estivale est certes propice au repos, à la convivialité et à la détente. Elle est aussi, d’un point de vue professionnel, l’occasion de prendre du recul, de réfléchir à de nouvelles stratégies, de mettre en place des mesures mille fois reportées…
Au Courrier Economie, cette période a été bénéfique. Ainsi vous découvrez cette semaine un journal enrichi de huit pages supplémentaires, faisant apparaitre de nouvelles rubriques pour encore mieux vous satisfaire. Le changement principal réside dans le développement d’un véritable dossier, en lien avec un sujet, un secteur d’activités ou une compétence concernant le plus grand nombre d’entre vous. En effet, qui n’est pas intéressé par l’évolution du marché des complémentaires-santé, l’impact des technologies numériques sur la compétitivité, les nouveaux modes de financement des entreprises, la situation de l’emploi en région… ? Autant de points qui seront abordés au cours des prochaines semaines.
Mais cette amélioration n’est que la partie émergée de l’iceberg. Les changements ne s’arrêteront pas à cette sur-pagination. Au fil des prochains mois, nous nous engageons également à vous proposer de nouveaux services internet et un site à la fois plus complet et plus fonctionnel, une nouvelle maquette pour intégrer toujours plus d’informations en lien avec vos attentes véritables, une nouvelle identité visuelle pour une lecture plus agréable, et des suppléments réguliers pour approfondir certains domaines.
Plus que jamais, le Courrier Economie est décidé à jouer un rôle majeur aux côtés des entreprises du département. En vous apportant une meilleure connaissance de votre environnement professionnel, mais aussi plus de conseils pratiques et plus de services, nous espérons pouvoir contribuer à votre propre développement.
Ces changements sont importants mais il n’y a pas d’évolution possible sans prise de risques. En ouvrant la porte à de multiples modifications, le Courrier Economie espère continuer à plaire à ces lecteurs actuels, mais aussi séduire ceux de demain. Sans perdre personne en chemin…
Mais vous connaissez tout ça mieux que moi !
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