Selon une enquête menée fin 2007 par la fédération du bâtiment (FFB), une entreprise sur deux a été victime d’au moins un vol significatif de plus de 10 000 euros, dont 56 % de vols simples et 43 % de vols avec effraction. Leur coût s’élève à 1 % du chiffre d’affaires du bâtiment, soit un milliard d’euros. Car la quasi-totalité des départements est touchée. « Et l’Ain ne déroge malheureusement pas à la règle », rappelle Yves Marillet, secrétaire général de la fédération du BTP de l’Ain (FBTP).
Un certain nombre de précautions permettent de réduire le risque, comme le marquage du petit matériel ou le gardiennage du chantier, quand la taille de ce dernier le permet. « Ce n’est peut-être pas le plus simple, mais un approvisionnement au fur et à mesure permet de se prémunir en stockant le minimum de matériaux sur le chantier, suggère Philippe Bost, secrétaire général adjoint de la CAPEB de l’Ain. On peut désigner quelqu’un pour fermer le site et s’assurer du bon état des clôtures. Enfin, il est possible de faire un transfert de propriété qui fait porter le risque au maître d’ouvrage, charge à lui d’assurer la garde des matériaux. »
À l’occasion de ses 40 ans, Arva-Nic Impex vise la sobriété
Basé à Annecy, le fabricant et distributeur de produits outdoor Nic Impex, spécialisé dans les détecteurs de victimes d’avalanche (Arva), célèbre quarante ans d’innovations. L’opportunité pour la PME de se réinventer et d’investir dans des bureaux flambant neufs....
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