Investir à l’international, c’est une question de survie pour de nombreuses entreprises. « La crise a pointé du doigt la nécessité d’élargir ses marchés. L’export permet de répartir ses risques et d’asseoir son entreprise. C’est une gestion de bon père de famille, explique Marc Hoffmeister, président du salon Classe Export qui se déroulera à Lyon Eurexpo les 1er et 2 décembre. Or sur la région, nous avons la chance d’avoir un vivier de PME capables de se développer à l’international qui constitue un potentiel énorme. » Dans l’Ain, troisième département exportateur de Rhône-Alpes avec 14,5 % du total, sur 3900 entreprises inscrites au registre du commerce (hors commerce), 638 exportent régulièrement. Et parmi elles, 340 ont connu sur trois ans, une croissance d’au moins 10 % de leur chiffre d’affaires, 256 une croissance d’au moins 20 % et 196 une croissance d’au moins 30 %. « Les investissements à l’export sont donc payants, commente le président du salon. Mais, il faut accepter de se faire aider. Je ne connais aucune entreprise qui s’est développée à l’étranger sans être accompagnée. »
Économie sociale et solidaire : un écosystème de financement dense
France Active Ain et l’AGLCA ont organisé une table ronde dans le cadre du mois de l’ESS, sur les moyens d’améliorer l’impact de la finance solidaire. « Pour nous, l’économie sociale et solidaire (ESS), c’est d’abord de l’économie. Même si on parle d’activités qui...
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