La maintenance de premier niveau regroupe l’ensemble des opérations de réglage, graissage, débourrage, contrôle et nettoyage que l’opérateur peut réaliser lui-même. C’est un moyen d’augmenter la productivité générale de l’atelier, de baisser les coûts de maintenance et de prolonger la durée de vie des machines. L’enrichissement des tâches et la responsabilisation des opérateurs sont, par ailleurs, un outil supplémentaire de motivation. Et les services techniques pourront se concentrer sur leur métier, la maintenance proprement dite. La mise en place d’une maintenance de premier niveau nécessite du temps. On commencera par créer un groupe de travail regroupant des opérateurs, des agents de maintenance et l’encadrement pour créer des standards de nettoyage, d’inspection et de maintenance tenant compte des impératifs de production et de sécurité. Il faudra ensuite former le personnel et surtout, s’assurer du respect des nouvelles consignes.
Guillaume Meyzenq : « Salomon doit devenir un acteur majeur à l’échelle mondiale »
Depuis le 1er janvier 2025, Guillaume Meyzenq, 52 ans, est le nouveau PDG de Salomon. Pur produit de l’entreprise, où il est entré comme stagiaire il y a trente-et-un ans, il affiche ses ambitions : faire de Salomon une marque mondiale d’articles de sport. Quel est...
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