Cette année, le salon burgien a choisi de mettre le cap sur le sucré-salé, terre de surprise pas toujours agréable. En confiant la barre à des professionnels locaux réputés, les organisateurs s’assurent que les voyageurs découvriront en confiance ce continent souvent exotique pour les papilles. Volaille de Bresse et agrumes ; homard, chorizo et chutney de mangue ; foie gras zest d’orange et fraise des bois… Les associations surprennent, effraient, mais le résultat rappelle à chacun les mots de Colette : « Si vous n’êtes pas capables d’un peu de sorcellerie, ce n’est pas la peine de vous mêler de cuisine… »
La gastronomie est aussi un moment de partage et les organisateurs ne l’ont pas oublié. Durant les 5 jours du salon, démonstrations et dégustations seront proposés aux 20000 visiteurs attendus. Deux concours doivent aussi ponctuer la fête. Dimanche 9 novembre, le concours des 7 Ceps mettra en lumière les différents terroirs d’une vaste région autour du Mont Blanc (Vaud, Valais, Genève, la Vallée d’Aoste, le Jura ou encore les deux Savoies. Lundi 10 novembre, les Trophées de la gastronomie et des saveurs de l’Ain viendront distinguer chefs, producteurs, sommeliers ou encore industriels.
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