« Nous nous sommes engagés sur trois ans. Au bout de trois mois, on nous demande déjà des comptes. Cela me fait sortir de mes gonds », tempête Dominique Marcepoil, représentant des hôteliers au sein de l’UMIH de l’Ain (Union des métiers de l’industrie hôtelière). La profession s’est en effet décidée à sortir de sa réserve et dénoncer « l’acharnement médiatique » dont elle fait l’objet depuis le 31 juillet. « La TVA à 5,5 % n’est pas une niche fiscale, elle met fin à une injustice par rapport à la restauration rapide, rappelle pour sa part, Jean-Pierre Vullin, président départemental de l’UMIH. Dans notre contrat d’avenir, nous nous sommes engagés à baisser nos prix, certes, mais sur sept produits, pas sur la totalité de la carte. Surtout, nous nous sommes engagés sur les salaires, sur l’emploi et la formation. Nous projetons de créer 40 000 postes dont 20 000 seront pérennes. Tandis que les salaires ont augmenté de 3 % dès juillet, des négociations sont en cours avec trois syndicats pour une révision des grilles. »
Cybersécurité : tous (trop peu) concernés
Conflits géopolitiques, Jeux olympiques, ingérences étrangères, espionnage… : plus que jamais, en 2024, la cybercriminalité est au coeur des enjeux nationaux. Loin d'être la chasse gardée du secteur du numérique, elle concerne chaque entreprise. Malheureusement,...
0 commentaires